Courber l'échine. Se faire passer pour plus bête qu'on ne l'est. Attaquer.
Les.Broutons.Moutent
un kiwi ça moute énormément.
Les.Broutons.Moutent
un kiwi ça moute énormément.
Vendredi 30 octobre 2009 à 10:06
Il était une fois
#11 Kokia ~調和音[with reflexion]~
Ondes de Pensées
Courber l'échine. Se faire passer pour plus bête qu'on ne l'est. Attaquer.
Publié par nuage-coquelicot
wrote by koklikow
étoiles filantes
Jeudi 29 octobre 2009 à 16:40
Il était une fois
Ondes de Pensées
Publié par nuage-coquelicot
wrote by koklikow
étoiles filantes
Jeudi 29 octobre 2009 à 16:25
Il était une fois
#10 Just Jack ~Starz in their Eyes~
Ondes de Pensées
Le soleil me brûle les joues. Ah mais non, c'est le froid. Le soleil, lui, se montre, fourbe, il est là, mais ne réchauffe point ; le froid est là, il vous glace les os, et vous brûle vos pomettes. Mais que faut-il au quotidien pour rajouter cette petite teinte qui chaleureusement empli de douce chaleur tiède ? La quête d'un déguisement : on fait face avec notre propres émotions sur notre visage toute l'année, il nous faut pouvoir être quelqu'un d'autre au moins une fois de temps en temps, craquer à fond, faire figuration d'un personnage de fiction. Il fait froid, les achats sont finis, les immeubles font de l'ombre, et l'on découvre un café caché. Son nom ne paye pas de mine, la petite porte d'entrée donne une vue chaleureuse, des tons d'ocre et vermillon bouton d'or, des petites tables et chaises en bois, on s'occupe de vous tout de suite. (Pour les Lyonnais : Brasserie, le 1900 ). Boire un thé avec elle qui n'aime pas les boissons à base d'eau, et manger une crêpe. Parce qu'on a trouvé, même si ça a pris du temps, et en partant se dire qu'on reviendra pour prendre un repas, car les plats des autres font vraiment envie, tout comme ces tartes qui attendent qu'on les commandes en desserts et qui débordent de leurs plats. Finir sa journée par se dire que même s'il fait froid, un petit soleil brille dans le coeur, qui nous réchauffe, et nous fait du bien. Parce qu'à l'avance on sait. Parce qu'on a appris qu'il y a toujours un peu de chaud au fond du froid, qu'il y a toujours de la crème dans le lait, que le chocolat est toujours parfumé, que le thé toujours au miel, que l'oreiller toujours moelleux, que même la pire abîme dans laquelle on peut s'enfoncer est toujours lumineuse. Parce qu'on est amis.
Publié par nuage-coquelicot
wrote by koklikow
étoiles filantes
Lundi 26 octobre 2009 à 10:17
Il était une fois
Ondes de Pensées
Trêve de plaisanteries.
J'ai décidé avec le plus grand sérieux qui soit d'écrire en ligne mes histoires fantastiques, que j'ai commencé à rédiger sur un petit carnet qui ne se trouve actuellement pas chez moi. Cependant, l'idée m'est venue que peut être si je postais un début d'histoire je gagnerais peut être des lecteurs, et donc des critiques constructives (!) et que je pourrais ainsi bien faire évoluer l'histoire qui réside dans ma tête depuis cet été, voire certainement depuis bien plus longtemps. Il me faudra tout d'abord mettre à jour les cartes, et les améliorer afin de les poster en ligne, pour bien situer l'histoire; ensuite le fait est que j'ai eu envie de me prendre la tête à inventer une langue et donc du vocabulaire inventer, donc je ferais sûrement une page lexique (...); et si je me sens, je ferais de temps en temps des petits "blabla" sur les personnages comme leurs liens de parentés, tout ça. Avant tout, je sais que Titi lira ceci: ne te presse pas ma grande, prends le temps de lire (: et puis au cas où tu cales pas tout, dis moi je mettrais en ligne les liens entre les persos tout ça.
Voilou, sinon re-sérieusement, j'vais aller me mettre au boulot.
Publié par nuage-coquelicot
wrote by koklikow
étoiles filantes
Lundi 26 octobre 2009 à 9:52
Il était une fois
Ondes de Pensées
Turnin', away from the life
Becomin' adult
Turnin' into myself.
Bloc Party Banquet
Cela fait bizarre de se dire : je vais partir pendant 1 an. Ou plutôt, l'étrangeté réside dans le fait que l'on n'est pas perturbé par le fait de ne pas voir ses proches pendant 1 an. Mais quand on en parle, on nous répond "c'est pas encore là, Tais-toi! Chut!". A croire qu'eux rechignent à entendre qu'on part bientôt. Pour eux c'est loin, l'été. Pour nous, c'est près. On est déjà dedans, on regarde pour les dossiers. On pense à des trucs bêtes comme "et si je veux faire un gateau ? j'aurais pas de four, snif." ou encore "si je veux repasser, j'aurais le fer, mais pas la table, si ?" et des trucs un peu plus gais comme "je pourrais prendre plein de photos ! Envoyer plein de cartes postales !"... On ne pense malheureusement pas à nos proches en se disant qu'on sera malheureux. Non. On pense à "comment sera l'appart ? est-ce que je trouverais un baito en plus de la bourse pour m'aider ?" Mais encore pire, comme on n'en est qu'au stade du dossier, on se préoccupe plutôt du "Vais-je réussir l'entretiens ? Mes notes vont-elles suivre mon dossier et mes projets ? L'université va-t-elle m'accepter ?" ... On est bien loin de vous, les copains. Et vous, vous êtes plus axés sur le fait que l'on sera absent. Pourtant ce n'est pas pour autant qu'on ne pense pas à vous. Simplement, vous, vous êtes là.
Vous rechignez à entendre parler de quand on sera absent, alors que ce n'est pas sûr. On voudrait dans le coeur faire un petit quelque chose pour le départ, mais on sait qu'on pleurera quand même, parce que partir, c'est toujours un départ. C'est une séparation. Et pourtant, on va revenir. Ce n'est pas comme si c'était
Publié par nuage-coquelicot
wrote by koklikow
étoiles filantes