Les.Broutons.Moutent

un kiwi ça moute énormément.

Vendredi 4 septembre 2009 à 17:43

Il était une fois


http://les.broutons.moutent.cowblog.fr/images/portraits/040909053.jpg
Rien bu, rien fumé, juste le tram à attendre et un appareil photo.

Publié par nuage-coquelicot

wrote by koklikow

Nuit sans étoile

étoiles filantes

Vendredi 4 septembre 2009 à 17:39

Il était une fois



http://les.broutons.moutent.cowblog.fr/images/portraits/040909052.jpg
Quand on est partie pour une, autant partir pour 7... les 5 autres à venir.

Publié par nuage-coquelicot

wrote by koklikow

Nuit sans étoile

étoiles filantes

Vendredi 4 septembre 2009 à 17:36

Il était une fois


http://les.broutons.moutent.cowblog.fr/images/portraits/040909050.jpg

Rien de tel, quand on attends le tram.

Publié par nuage-coquelicot

wrote by koklikow

Nuit sans étoile

étoiles filantes

Jeudi 3 septembre 2009 à 20:16

Il était une fois

#2 Oasis ~Falling Down~

Ondes de Pensées

http://les.broutons.moutent.cowblog.fr/images/portraits/LoLo.jpg

Un univers s'écroule, un autre se construit avec les débris sur les ruines, plus radieux, plus éclatant, et pourtant fait des même éléments que le précédent.
Et là, il y a les photographies : le passé en image, une bande dessinée plutôt réaliste, en noir et blanc ou en couleur, impressions de souvenirs sur papier lisse, finition brillante, reflétant nos plus belles années, celles dont on veut se souvenir, volontairement ou à l'insu du plein gré du photographe, parfois rétissant(e) à venir sur  ses chefs d'oeuvres en personne.
Parfois flou, c'est pourtant les plus beau parce qu'ils sont vrais. Parfois net, parce que c'est sûr, ça ne pouvait pas en être autrement, ce moment là, il est gravé, imprimé, peint, jamais oublié. Parfois en noir et blanc, parce que la beauté éphémère du moment est nostalgique. Parfois (haut) en couleur, parce que la vie c'est un arc en ciel, des nuages, le soleil, la pluie, le vent.
Jamais lassée de ces moments que je chéris plus que tout, j'expose mon point de vue : ces frimousses si chères à mon coeur sur pellicules, marquer à jamais ces expressions, me permettre avec égoïsme de revivre ces instants perdus, ces sourires vagues dans le lointain, et pourtant si proche du palpitant. Un album, qu'il soit virtuel, concret, ou juste pensif, n'est rien d'autre que le reflet de soi, et de ceux à qui on tient tant.
 

Il y a des modèles qui reviendront plus que d'autres, comme elle.
Vague sourire agacé par le mitraillement de sa bouille, manque un sous titre "ça suffit tes bêtises, tu vas pas boire ton I** Tea" mais sourire dans tous les cas, sourire. Sourire en noir et blanc, donner un côté sérieux à de la
rigolade,
donner une teinte à la nostalgie de ne pouvoir sourire pareil, et finalement imiter la tête se trouvant en face de nous, comme un miroir, parce qu'on en a envie, parce qu'on en a besoin.


 

Publié par nuage-coquelicot

wrote by koklikow

Nuit sans étoile

étoiles filantes

Mercredi 2 septembre 2009 à 9:42

Il était une fois

#1 AIR ~Radian~

Ondes de Pensées

http://les.broutons.moutent.cowblog.fr/images/roma/Italie08095.jpg

Y a des jours avec,

où l'on se dit qu'entamer la journée par un soleil radieux qui ne nous fera pas trop travailler du chapeau l'après-midi, suivit d'une petite brise fraiche qui fait bouger le pendule du carillon créant une mélodie envoutante, constater l'absence du chien rachitique idiot qui ne hurle pas désespérément à la mort sa chère, tendre et folle maîtresse partie, que la mousse savonneuse dans notre douche ressemblera plus à une robe de nuage qu'à de la mousse, que le bus aura des airs de limousine plutôt que de TCL dans lequel on pourra choisir sa place, qu'on ne tombera pas sur des affolés qui nous font remarquer que "le chapeau vous va à ravir" pour vous faire une proposition douteuse 2" plus tard, qu'on ne ratera pas le tramway pour 2' attendues au feu rouge tomate cramoisie, mais plutôt parce qu'on aurait été poursuivie par un papillon le long de haie et que c'était bien trop tentant de le suivre, cependant, le cheminement s'arrête dans le métro, où l'on rencontre un lézard.

Y a un lézard dans le métro, à quand les Crocos ?
 
Y a des jours sans,

où le sommeil se met en grève et la nuit semble longue, jusqu'à ce petit répis de 4h qui aurait pu durer si le stupide cabot rachitique d'à côté n'avais pas osé la fantaisie de jouer au réveil matin si tôt après l'endormissement, où l'on espère que la canicule se terminera une fois les volets ouverts, mais la chaleur vous frappe à cet instant précis, la vicieuse ! On souhaite encore par la suite pouvoir se servir une éclaircie de lait dans les nuages orageux d'un café noir, mais sans succès : on obtient juste une couleur café au lait, la magie a disparue. C'est alors qu'on s'aperçoit que notre robe de bal n'est qu'un tas de mousse a rincer, que le TCL est encore en retard et qu'il est bondé - adieu les airs de limousine, bonjour les joies de la rentrée des vacanciers - et que par dessus le marché vous n'avez toujours pas pu recharger votre abonnement : les bornes sont en pannes. Vient ensuite tout une ribambelle de souvenirs latents : la vignette étudiante 09-10 qui tarde de faire son chemin jusqu'à la boîte aux lettres, la carte campus qui elle a du se perdre dans les couloirs des PTT, les photos à développer qui ont du passer outre la chambre noire et faire une visite touristique du studio de développement, et pour couronner le tout, quelqu'un qui vous reproche son mal être, celui de ses proches mal en points ou passés du côté obscure, et celui de la terre entière.
 

Et à part ça ? Ben, on positive.

Publié par nuage-coquelicot

wrote by koklikow

Nuit sans étoile

étoiles filantes

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